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Notes d'intentions
Pour répondre aux questions que vous vous posez

L'histoire de notre création: quelques explications

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En préambule: Merci!!!

Nous tenons à remercier les enfants, leurs parents et tous les spectateurs, dont les retours précieux nous ont portés, confortés, questionnés aussi.

Nous vous remercions  chaleureusement, pour vos enthousiasmes et vos chaleureux messages qui nous encouragent et donnent sens à notre travail.

Et bien sur, une grand merci aux enfants auprès desquels nous avons mené, très longtemps, de nombreux projets de médiation artistique dans les écoles et autres: Ils ont nourri l'écriture de ce spectacle que nous leur dédions en retour.

Vous en dire un peu plus sur le spectacle

Suite aux questionnements de quelques professionnels, et pour satisfaire la curiosité de tous, nous avons décidé de partager nos réponses  dans cette page.

Nous les développons avec le plus de détails possible: notre intention est d'éclairer ce qui nous a motivé nos choix esthétiques, scénographiques et artistiques autour de notre thème.

Quel discours souhaitez-vous porter à travers cette œuvre ?

 Le sujet de la création est énoncé dans le titre même du spectacle:

                                                "Pourquoi je suis moi et pourquoi pas toi"

Nos lignes d'intentions sont:

Inviter à une exploration philosophique et intime plutôt que raconter une histoire:

"Qui sommes nous?"


Nous voulions poser à haute voix (voix off) cette question intime, philosophique (dont nous avons emprunté la forme à Wim Wanders "Pourquoi je suis moi et pourquoi pas toi" dans "Les ailes du désir"), particulièrement sensible pour les enfants,

Elle est déclinée en dix questions (et séquences: voir ci dessous "l'histoire").
 

A contrario des propositions de spectacles jeune public auxquels nous sommes habitués, l'enfant n'est pas  projeté ici dans le récit d'une histoire et de personnages "extraordinaires" auquel il  peut s'identifier, mais invité à une relation en "miroir" avec Mona (ce qui est un peu déconcertant et inhabituel)

         - C'est pourquoi nous avons choisi des situations de la vie quotidienne, dans la maison, au sein de la famille, à des moments différents de la journée (le matin le soir qui sont des moments propices à l'introspection) ou chacun est ramené à lui même, à ses propres questionnements, explorations et esquisses de réponses: l'introduction du spectacle annonce d'ailleurs la couleur de cette intention:

  "C’est l’histoire d’une fille que tu connais : c’est peut être ta sœur, c’est peut être ton amie ou …tu la reconnaîtras mais la connais tu tant que ça ? Et qui sait, c’est peut être toi !"

        - C'est pourquoi nous avons choisi des expressions artistiques différentes: la voix off de la pensée et du questionnement, la voix de l'imaginaire des représentations et des projections, la voix de l'ombre du regard et de l'influence de(s) l'autre(s), la voix du mouvement, des actions, des explorations: ces différentes voix se répondent pour esquisser un portrait de Mona..

 

Extrait du projet de création:

"Le spectacle, composé de 10 tableaux, s'adresse à un public large (et pouvant se recomposer pour s’adapter à l'âge des enfants).
L'héroïne est une petite fille, Mona, qui se questionne dans l’ombre de sa mère …
Chacun des tableaux permet de suivre Mona à la fois dans son quotidien et son imaginaire, dans ses questionnements et ses expérimentations.
Chaque séquence convoque une question et tente des réponses qui nous laissent entrevoir la personnalité de Mona."

 

Nous parions donc que le portrait en creux d'une petite fille qui nous déroule sa géographie intérieure, ses premières expériences et ses interrogations et les confronte au réel, au gré de sa fantaisie, dans son quotidien et ses relations familiales, résonne en chacun(e) et l'amène à questionner sa perception de lui même: en cela réside notre proposition artistique et et l'essence de notre propos.


 

Montrer l'altérité nécessaire à la construction identitaire:

La relation mère/fille fondatrice, au centre du spectacle.

C

C'est dans l'interaction avec les autres que nous nous construisons.

Nous avons choisi, dans ce spectacle, de donner la priorité aux relations familiales et plus particulièrement aux relations mère/fille, qui sont à la source de la construction identitaire.
C'est pourquoi le spectacle commence par cette première séparation: l'accouchement de la mère et l'apparition de Mona.

Ce processus est en jeu jusqu'à la fin du spectacle (de la bulle initiale dans le ventre de sa mère jusqu'à la rue Cyr de Mona: le chemin de l'autonomisation)


        - L'identité s'interroge par comparaison et identification: en quoi suis je semblable aux autres, en quoi suis je différent(e) singulier(e)?
Nous avons donc posé cette question dès l'introduction:

 " Pourquoi je suis moi et pourquoi pas toi ? Tu sens quoi ? Tu vois vraiment les mêmes couleurs que moi ?Alors pourquoi t’aimes pas tout ce que j’aime moi ? "

Ce processus de développe tout au long du spectacle (en point d'orgue notamment, dans la séquence de la salle de bain ou les ressemblances et les différences familiales sont interrogées sous forme de métaphores verbales et visuelles)

Mona veut ressembler ("être un garçon" comme son frère, être "comme Maman"...) et être différente singulière (pas comme son frère, pas comme sa mère...): en même temps qu'elle imite, obéit et se conforme aux injonctions familiales, elle se démarque, se différencie (sur les toits, Roue Cyr).

 

Extrait du projet de création :

 "Nous sommes sensibles à l'omniprésence de la notion d'identité dans le champ social, politique et médiatique car elle est au cœur des bouleversements qui agitent les enfants et les adolescents rencontrés au sein de nos ateliers.
Cette notion pouvant être abordée sous de multiples entrées, nous avons fait le choix de nous pencher sur deux questions mises en balance dans la quête d'identité.
En quoi suis-je semblable aux autres ?
En quoi suis-je singulier, unique ?
Deux interrogations qui paraissent s'opposer... L'identité pourtant se construit dans la tension créée par ce paradoxe.
« L'identité ne se soutient que dans cette oscillation et il importe que le paradoxe ne soit pas rompu sinon c'est la chute dans l'un des termes de la contradiction [...] » (Edmond Marc Lipiansky).
C'est cette difficulté à harmoniser ces deux pôles qui nous a donné l’envie de proposer un spectacle autour de ce thème. "

      - C'est dans le regard de l'autre, et dans l'interaction avec lui que se construit notre personnalité;
Cette idée est introduite par le seul récit du spectacle, porté par la voix du père, le conte;

"Les six aveugles et l'éléphant":

Dans le regard de l'autre il y a une part de vérité de ce que nous sommes, même si ce point de vue ne rend pas compte de l'ensemble de notre complexité...De cette complexité dont elle prend conscience, Mona s’essaie à une "métaphore" d'elle même, dans un portrait chinois. Elle est aussi par la même invitée à se confronter au regards des autres...
Cette idée est développée tout
au long de la pièce au travers des interactions et relations mère/fille et les développements de la pensée et des actions de Mona.
 

Montrer comment le corps est l'enjeu fondamental de la construction identitaire

Il est le cœur du spectacle.

     - Mona interroge, dès l'introduction du spectacle, ses compétences corporelles et s'en émerveille ("comment mes yeux se mettent t ils d'accord...")
Elle entreprend, tout au long de celui ci, des expérimentations qui s'"engramment" dans son corps, jusqu'à l'expérience de la roue Cyr (dans cette séquence il est aussi question du corps et du cadre "
je suis une fille ronde dans un carré etc."): l'engagement dan
s l'action corporelle répond aux questions identitaires que Mona se pose et développe ses compétences.


      - C'est dans les injonctions familiales que se façonne en partie la personnalité de Mona (comme dans la séquence, ou sa mère l'invective "relèves toi tu vas salir ta robe etc." (Cette séquence est très importante et parle aussi bien aux enfants qu'aux parents...c'est la première séquence que nous avons imaginée et travaillée)


     - C'est dans la rébellion contre les injonctions maternelles que se révèle le caractère propre de Mona: elle sort du cadre et dépasse l'interdit: aller"sur le toit": Il est à noter toutefois qu'elle adresse cette performance (et sa chanson) à un ou des spectateur(s) imaginaire(s) ou inconnus dans cette exploration du toit.


     - Nous ne pouvions pas faire l'impasse sur la question du sexe: Mona devra se mettre en accord avec le fait qu'elle est intrinsèquement une fille: l'appréhension de l'arrivée d'un petit frère et la rivalité qu'elle projette sur cet évènement au sein de la cellule familiale l'amène à considérer sa position d’aînée (moins d'attention parentale) et surtout de "fille"; cette séquence est volontairement provocatrice ( cette présentation très "cliché" sur la représentation qu'a Mona des "garçons" et les privilèges qu'elle croit qu'ils leurs sont réservés, invite au débat entre garçons et filles, que nous jugeons nécessaire: il s'est d'ailleurs esquissé entre les enfants que nous avons rencontré à l'issue du spectacle) Ces clichés sont des paroles d’enfants rassemblées dans un texte chanté et bien sur interprétés par Mona.


       - Enfin la performance de la roue Cyr en conclusion du spectacle nous montre le chemin parcouru et les perspectives à venir: la force et la beauté de ce que nous pouvons faire, devenir et encore accomplir, l'engagement et les ruptures nécessaires, l'acceptation du changement, l'impermanence de notre identité qui est toujours en devenir, en mouvement ...elle nous  invite à retravailler sans cesse la perception que nous avons de nous même.

Extrait du projet de création:

"...L'oscillation est un mouvement d'équilibration que l'on peut rapprocher de la conception de la danse de Doris Humphrey : le mouvement est une lutte perpétuelle entre tomber et se ressaisir, s'abandonner et résister.
(Voir « Construire la danse » éd. L.)
Tout comme le mouvement, l'identité est à la fois permanence et changements.
Dans la construction identitaire, le corps est un enjeu fondamental. : qu’on ait 5 ans, 10 ans, 15 ans, nous sommes à l’instant « T » en même temps un peu  « qui » nous étions hier et  « qui » nous serons demain... Si certaines caractéristiques sont données à la naissance (sexe, couleur et autres), nos gestes, postures et attitudes vont se façonner au fil du temps. C'est en nous mesurant aux injonctions familiales, sociales et culturelles que nous nous imprégnons et nous confrontons à des valeurs normatives et différenciées. Celles-ci vont marquer notre personnalité.
Les expériences "engrammées" au cours de notre existence nous invitent à retravailler sans cesse la perception de nous-même.

Nous traitons de la question de l ’identité en trois axes principaux d’approche:
« Pourquoi mon corps est-il d'accord »: le tour de la connaissance du corps, de ses possibles probables et improbables, des apprentissages nécessaires, des limites obligées ...
« Pourquoi je suis moi et pourquoi pas toi » : qu’est-ce qui est pareil et qu’est-ce qui est différent ? S’essayer à être l’autre, s’essayer à être soi.
« Qui je serai, moi? »: se projeter. Quelle personne suis-je en devenir et comment s’accepter, élargir ses frontières , s’autoriser à, pour aller à la rencontre …?"

Pourquoi la multiplicité des esthétiques dans le spectacle

(danse, cirque, théâtre d'ombres, vidéo…)

La compagnieL2:

Nous comprenons que le caractère polymorphe de la forme du spectacle puisse déconcerter, même si nous le défendons, tant il fait partie du travail fondateur de notre compagnie depuis ses débuts (voir site et notre charte): faire dialoguer différentes formes artistiques au service du propos du spectacle.

C'est aussi notre façon de "sortir du cadre" du classement catégoriel, trop usuel à notre avis, du spectacle (un spectacle de danse, de cirque, pour enfants etc. ).


Cela permet à chacun de recevoir le spectacle à travers l'esthétique qui parle le mieux à sa sensibilité (le texte, l'image ou le mouvement, ce qui est dit, ressenti ou vécu, verbal émotionnel ou kinesthésique...), car notre expérience avec le public nous a appris comment chaque spectateur, chaque enfant, a une sensibilité et une perception différente, et des références différentes..

Mais la raison principale est pour nous la nécessité de convoquer les différents langages qui nous sont indispensables au développement de notre propos comme nous allons l'expliquer ci dessous...


Pourquoi avoir privilégié la voix off plutôt qu’un récit en direct ?

 

  La voix Off comme "La petite voix intérieure"de Mona


Nous avons choisi de faire entendre une voix off parce la parole ici ne porte pas " un récit ": elle est la pour nous faire entendre "la petite voix intérieure" du personnage.
Un texte, que nous avons voulu à auteur d'enfant, reprend leurs mots. (Hormis le texte de la fin qui préfigure l'entrée dans l'adolescence)
Il s'agit de rendre compte des "humeurs" de Mona: inquiétudes, questionnements, élans, rebellions....qui ne sont pas exprimées à haute voix mais au secret de soi.
La voix off vient introduire chaque tableau par un questionnement et le conclure le plus souvent par une pirouette, pas si anodine qu'elle ne le parait.


Pourquoi avoir mélangé vidéo et théâtre d’ombres ?

La vidéo, la voix de "L'imaginaire" de Mona


Les images, projetées par la vidéo sont la pour nous montrer l' "imaginaire" de Mona.
Ainsi dévoilé, il rend visible l'histoire racontée et nous montre par quelles images Mona se la représente dans sa tête (comme le conte par exemple)
ou file la métaphore de ses pensées (comme dans la salle de bain)
ou dialogue avec le réel (comme dans la séquence "sur les toits" ou se mélangent l'action et l'imaginaire de l'action)
Cet imaginaire nous raconte beaucoup de Mona et de son caractère: Il est en couleur et convoque les animaux souvent familiers (chien, chats, poissons, éléphant, oiseaux...) représentés en dessins animés et non en image réaliste.
Ces images sont projetées dans les piscines rondes en forme de "bulles", pour rappeler celles des bandes dessinées (les enfants en comprennent très bien le code)


Le théâtre d'ombre la voix de l'autre, l'"empreinte" familiale

 

Dans ce théâtre d'ombre, "l'ombre de la mère" assure la transmission: celle de l'empreinte familiale dans la construction posturale et l'éducation de Mona.
La mère, presque omniprésente en arrière plan, accompagne, rassure, tente "d'orienter",  "d'éduquer" et de "cadrer" Mona...
Elle apparaît donc principalement dans la piscine carrée en noir et blanc. Elle est un arrière plan vigilant et solide. Elle est un appui.
Nous aurions pu la faire parler en direct mais, pour des raisons techniques, que vous comprendrez aisément (balance de son /voix live), nous avons finalement choisi l'enregistrement du texte
La mère apparaît aussi dans les portraits: les portraits sont ceux des femmes qui se sont succédé ( la grand mère, arrière grand mère, etc.) de mères en filles, avant Mona. (elles sont d'ailleurs interprétées par 4 danseuses différentes dans la dernière séquence)
Ils viennent renforcer l'idée de la transmission familiale qui structure et contraint en partie le fondement de notre identité.
Ils sont projetés dans les piscines rondes qui évoquent photos-portraits de nos ancêtres ( Ils étaient présentés autrefois dans un cercle ou un ovale...): On les voit à deux reprises, dans la séquence des injonctions maternelles, et la séquence du départ de Mona ("comme Maman" juste avant la roue Cyr)


L'action au plateau: "La réponse en mouvement"

 

L'action sur le plateau vient la plupart du temps, répondre à l'interrogation de la voix off, par une expérimentation qui, mine de rien, révèle pas mal d'aspects de la personnalité, du caractère de Mona:
Dans la construction de sa motricité jusqu'à la marche, dans ses réponses aux injonctions maternelles, dans ses expéditions nocturnes sur le toit, dans ses jeux d'eau, son interprétation "d'être un garçon" ou "comme maman"..
On découvre une petite fille curieuse, aventureuse, rebelle parfois, qui explore tous ses possibles et cherche les limites: une petite fille qui "s'éprouve" pour savoir qui elle est. Comme chacun de nous en somme.


La scénographie

La piscine carrée permet de structurer l'espace de la maison (la porte, le mur,la baignoire,les marches, le toit et bien sur le "cadre" dont il faut s'émanciper...) Elle nous fait voir la mère en ombre et à l’exception du premier tableau
Les piscines rondes ont une fonction de protection (le ventre,la naissance, le berceau..) de projection (de l’imaginaire) de réflexions (photos-portraits, miroir, ombre parlante de Mona)
L'ensemble de celles ci structurent les différents lieux de la maison.
la roue Cyr reprend le cercle des piscines, mais en creux, car c'est le cercle du portrait de Mona: il lui permet de déployer son mouvement dans l'espace, tout en apprenant à en maîtriser les contraintes. Elle montre impermanence de l'identité qui, confrontée aux interférences avec les autres et le réel, se transforme sans cesse
C'est pourquoi, (au grand regret des personnes qui sont venues voir une performance de roue Cyr et doivent attendre jusqu'à la fin ), cette séquence conclut le cheminement de Mona, par l'ébauche d'un élan d'émancipation avec les perturbations en prémisse d'un état d'adolescence.


L'histoire


Dix questions, de la naissance de Mona jusqu'aux prémices de l'adolescence:
1-« Pourquoi je suis moi et pourquoi pas toi » pose la question.
2-« Pourquoi moi? » Mona raconte comment elle est arrivée la et nous montre ses premiers pas.
3-« Pourquoi je suis moi » Ou Papa lui répond par un petit conte «Les  six aveugles et  l’éléphant »
4-« Pourquoi je dois faire-ci et pas ça? » Les injonctions de Maman. Ce n’est pas toujours amusant.
5-« Pourquoi mon corps est-il d'accord ? » "Je sais que je n'ai pas le droit mais je suis allée explorer le toi(t) " 
6-« Pourquoi les poissons tournent ils en rond ? »  Réflexions  sur les différences et les ressemblances.
7-« Pourquoi on se ressemble pas mon frère et moi ? » Qui ressemble à qui ? Et la petite histoire de  Maman.
8-« quand je serai grande je serai un garçon » s’essayer à être un garçon…et puis finalement non. 
9-« Ou bien ...comme maman? » que sera sera... 
10- "Comment faire quand on est une fille ronde dans un carré?" ou peut être le contraire...en tous cas, s'élancer dans le vaste monde pour être encore plus moi que moi!

 

Conclusion

 

Pour conclure,  nous ne pensons pas qu'il soit nécessaire de tout "bien comprendre", ni de bien interpréter nos intentions et nos métaphores pour être touché (e) par ce spectacle; seule la sensibilité de chacun compte.
Cela sous-tend que notre proposition se veut poétique et non didactique, même si elle a des aspirations à questionner...
Elle s'adresse autant aux enfants qu'à leurs parents, et offre plusieurs niveaux de lecture, de réflexions, de questionnements, de points sensibles ou chacun peut prendre ce qui le touche ou l'interpelle.
Elle n'entend pas non plus donner des réponses mais inviter chacun à s'approprier le propos et les questionnements qui le traverse.
N'hésitez pas à nous envoyer vos questions si vous en avez encore!

Pour la compagnie L2
Laurence Barrault et toute l'équipe

 

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